Quand ça frappe l'imaginaire (TCCL)

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Scene 1 (0s)

[Virtual Presenter] "Bienvenue à cette présentation sur le traumatisme crânio-cérébral léger. Dans cette présentation, nous allons étudier les examens neurologiques et les risques liés à un traumatisme crânio-cérébral léger, et nous allons discuter des méthodes pour réduire ces risques..

Scene 2 (19s)

[Audio] Bienvenu à tous. Abordons maintenant le Traumatisme Crânio-Cérébral Léger. Lors d'un tel traumatisme, il est indispensable de procéder à un diagnostic précis, d'évaluer le risque de décès ou de graves conséquences à court terme, de juger le danger de séquelles à long terme et de surveiller l'évolution et prendre en compte les recommandations concernant le retour aux activités intellectuelles et sportives..

Scene 3 (47s)

[Audio] Le troisième diapositif de notre présentation traite du plan de gestion des troubles de stress post-traumatique. Nous allons examiner leurs définitions, l'évaluation et le diagnostic, ainsi que la gestion et le traitement des risques et des préventions secondaires. Nous verrons comment ces approches peuvent aider les patients à recouvrer leur santé psychologique et mentale..

Scene 4 (1m 13s)

[Audio] "Le traumatisme crânio-cérébral est une pathologie cérébrale aiguë causée par un transfert d'énergie venant de l'extérieur et pouvant entraîner une modification soudaine de l'état mental, en présence ou en l'absence de perte de conscience. Cette force peut être directe ou indirecte et donner lieu à un mécanisme lésionnel spécifique se traduisant par une accélération ou une décélération..

Scene 5 (1m 39s)

[Audio] Évaluer le niveau d'inconscience d'une personne à l'aide de l'échelle de Glasgow signifie obtenir un score entre 3 et 15, qui est établi en réponse à cinq questions. Ces questions sont la réponse verbale, l'ouverture des yeux, la réponse motrice, la réaction au bruit et la réaction à la douleur. Chaque réponse est évaluée entre 0 et 5 et le score total reflète le niveau d'inconscience de la personne. De plus, la flexion et l'extension réflexes sont évalués et notés de 0 à 2. Nous devons donc examiner l'échelle de Glasgow comme un outil pour évaluer le niveau d'inconscience d'une personne..

Scene 6 (2m 24s)

[Audio] Bien que la conscience d'un patient soit importante, il est tout aussi crucial de connaître son niveau de conscience. Les ambulanciers se réfèrent à l'échelle AVPU pour évaluer le degré de conscience d'un patient : alerte, réponse aux stimuli verbaux, réponse aux stimuli douloureux (douleur) ou pas de réponse (non-réactif). Il est possible d'évaluer l'état de conscience d'un patient parmi ces quatre niveaux et l'évaluation ne peut concerner qu'un seul de ces niveaux..

Scene 7 (2m 58s)

[Audio] Le tableau présenté reflète le niveau de gravité des blessures liées au traumatisme craniocérébral. Les caractéristiques sont réparties en trois catégories : légères, modérées et graves. Pour déterminer le niveau de gravité, la considération est donnée à la durée de la perte ou de l'altération de la conscience, qui va de 0 à 30 minutes pour la catégorie légère, entre 30 minutes et 6 heures pour la catégorie modérée et plus de 24 heures pour la catégorie grave. De plus, l'échelle de coma de Glasgow, qui va de 13 à 15 pour la catégorie légère, de 9 à 12 pour la catégorie modérée et de 3 à 8 pour la catégorie grave, est également prise en compte. La présence ou non de lésions objectivées, ainsi que le résultat des séances d'imagerie cérébrale et l'amnésie post-traumatique sont également pris en considération..

Scene 8 (3m 58s)

[Audio] Voici les diagnostics TCC graves et sévères où la perte de conscience dure plus de six heures, et le score de Glasgow varie entre 3 et 8. Un scanner cérébral est demandé pour vérifier les conséquences des lésions. S'il est positif, un transfert d'urgence peut être nécessaire dans certains cas..

Scene 9 (4m 20s)

[Audio] Avec ce tableau clinique particulier, constatons un TCC modéré : cela signifie une perte de conscience entre 6 et 24 heures, un score de Glasgow compris entre 9 et 12 et un scanner positif. La conduite à tenir est un transfert avant le scanner, selon chaque cas. Il est essentiel de souligner que, une fois le diagnostic confirmé, un TCC modéré sera toujours vu comme modéré..

Scene 10 (4m 51s)

[Audio] Les Traumatismes Cérébraux Chroniques Légers (TCCL) peuvent avoir des répercussions profondes sur le psychisme des personnes. Chaque année, des millions de personnes à travers le monde sont touchées par de légers ou graves TCC qui ont des conséquences médicales et psychologiques importantes. Pour traiter les TCC légers ou graves, afin que les blessures atteignent les structures plus en profondeur et offrir une prise en charge adéquate, une solution mise en place est le transfert automatique vers un centre neuro-trauma, sous réserve de respecter des règles pré-établies. Ces règles pré-établies concernent les urgentistes et les transferts entre urgentistes. Toutes personnes présentant un traumatisme crânien accompagné d'un GCS (Glascow Coma Score) inférieur à 13 ainsi qu'un Scan positif doivent être transférées au centre neuro-trauma..

Scene 11 (5m 49s)

[Audio] Il s'agit d'un diagnostic clinique appelé TCC Léger, ce que nous appelons TCC lorsque le patient perd conscience pendant 0 à 30 minutes. Cependant, le diagnostic peut être fait même si le patient n'a pas perdu conscience. Il y a des critères bien définis qui doivent être suivis pour confirmer le diagnostic, tels que le score Glasgow 13 à 15. Un essai au scanner est facultatif lors du diagnostic initial et peut être positif en cas de TCC complexe..

Scene 12 (6m 24s)

[Audio] Les lésions cérébrales provoquées par des blessures à la tête peuvent engendrer une commotion cérébrale. La découverte de cette lésion ne peut pas être détectée par des scanners radiologiques traditionnels et elle est souvent présente chez les sportifs, surtout si la force du choc est faible. Pour évaluer le niveau de la commotion, on fait usage d'un instrument dénommé échelle de Glasgow, qui a pour valeur normale 15..

Scene 13 (6m 53s)

[Audio] Le Trouble du Comportement Circulaire Léger (TCCL) est une pathologie mentale affectant principalement les enfants et les adolescents. Dans les Centres Hospitaliers, environ 70 à 90% des Troubles du Comportement Circulaire sont des Troubles du Comportement Circulaire Léger. La prévalence du TCCL se situe entre 150 et 300 cas pour 100.000 habitants, et les garçons en sont principalement les victimes. Le TCCL se distingue par un niveau de gravité non modifiable dans le temps..

Scene 14 (7m 30s)

[Audio] Programme national de gestion du risque mis en place en 2005, pour une durée de cinq ans, était encore valable en 2014. Cela a permis de réduire le taux d’invalidité de 20 à 25 % à seulement 5 %. Les services de gestion du risque ont été mis en place partout au Québec, sauf à Montréal où ils sont partiels. Ils devraient commencer au début de l’année 2015 dans la région de Québec. Ce programme permet une meilleure gestion du risque de complications en offrant un meilleur diagnostic et une plus grande intégration et orientation des soins..

Scene 15 (8m 12s)

[Audio] TCC est une psychothérapie visant à établir le lien entre nos pensées, nos émotions et nos comportements. Il existe différents degrés de gravité du trouble et en fonction de ceux-ci, un diagnostic est attribué. Ainsi, nous pouvons distinguer le TCC Léger trivial, le TCC Léger simple, le TCC Léger complexe, le TCC Modéré et le TCC Grave. Ce diagnostic est parfois mis de côté, mais reste néanmoins très utile pour aider les personnes à comprendre leur problème et à trouver des solutions adéquates pour y faire face..

Scene 16 (8m 52s)

[Audio] Nous allons étudier les signes et symptômes transitoires pouvant apparaître dans les suites immédiates du fait accidentel. Ces signes peuvent comprendre une perte de conscience pouvant aller jusqu'à 30 minutes exigeant un témoin, une obnubilation de la conscience sans amnésie, des signes focaux et un type spécifique d'amnésie nommé amnésie rétrograde et antérograde. Il est essentiel de garder à l'esprit qu'il n'y a pas de rétrograde sans antérograde. Veillez à ce que certains patients ne vous disent pas : "Je ne me souviens de rien !.

Scene 17 (9m 29s)

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Scene 18 (9m 52s)

[Audio] Les accidents traumatiques sont l'une des principales préoccupations en matière de santé publique, car ils peuvent avoir des conséquences à court et à long terme pour la victime et ses proches. Afin d'en comprendre tous les tenants et aboutissants, il est nécessaire de comprendre les mécanismes lésionnels et les symptômes qui en découlent. Cette présentation se propose d'examiner comment évaluer un tel accident, en commençant par l'histoire de l'accident et en analysant les mécanismes lésionnels qui peuvent en résulter. Nous étudierons également quels sont les symptômes et quelles sont les méthodes qui peuvent être mises en place pour évaluer le patient, notamment un examen physique et neurologique et l'utilisation de l'échelle de coma de Glasgow..

Scene 19 (10m 39s)

[Audio] Pour ce diapositive, nous allons étudier le concept de TCC léger. La TCC léger est une forme de perte de conscience objectivée par des témoins. Il faut garder à l'esprit que la TCC est différente de la TC et que la durée de l'amnésie sera connue le lendemain..

Scene 20 (11m 0s)

[Audio] Lorsque le Trouble de Comportement Conflictuel (TCCL) affecte l'imaginaire, il existe trois types de diagnostics possibles : TCC Léger trivial, TCC Léger simple et TCC Léger complexe. Les symptômes peuvent être détectés bien avant l'admission à l'hôpital..

Scene 21 (11m 23s)

[Audio] Les infections liées à l'imagination sont connues sous le nom de "syndrome TCC léger". Ces syndromes peuvent être divisés en deux groupes principaux: infections mineures et infections simples. Habituellement, les symptômes se manifestent dans un délai de 24 heures après leur apparition. C'est pourquoi il est important de commencer le traitement le plus tôt possible afin d'éviter la propagation à d'autres parties du corps..

Scene 22 (11m 54s)

[Audio] Le terme "commotion cérébrale" est généralement remplacé par le terme TCCL, qui signifie "Trouble Clinique Consécutif à une Lésion Cérébrale". Il est divisé en 3 degrés, allant du léger au sévère. Le premier et le deuxième degré ne présentent pas de symptômes post-commotionnels, tandis que le troisième degré, sévère, est associé à une perte de connaissance brève ou prolongée et à des symptômes post-commotionnels pendant une durée maximale de 30 minutes. Il est donc important, notamment dans le monde sportif, de bien distinguer entre le TCC Léger Trivial, le TCC Léger Simple et le TCC Léger Complexe..

Scene 23 (12m 40s)

[Audio] En ce qui concerne la traumatologie crânio-cérébrale légère, nous faisons référence à des mécanismes d'accélération et de décélération qui provoquent des lésions microscopiques des cellules nerveuses et des petits vaisseaux. Leur résultat est une atteinte principalement fonctionnelle, alors que dans les cas de traumatologie crânio-cérébrale modérée à grave, il y a une atteinte structurelle..

Scene 24 (13m 5s)

[Audio] Il faut donc retenir le diagnostic TCCL si un scanner est nécessaire, si le risque de complications graves et immédiates est présent ou s'il y a une urgence neurochirurgicale. Les directives pour l'évaluation et le suivi en neurochirurgie peuvent être classées selon différents critères, comme le type de lésion, l'intensité du trauma, le mécanisme et le groupe à risque..

Scene 25 (13m 31s)

[Audio] Lors du diagnostic, lorsqu'un patient présente des symptômes qui peuvent indiquer un trouble du comportement cognitif léger, il est possible de distinguer quatre types de TCC Léger : le TCC Léger trivial, le TCC Léger simple, et le TCC Léger complexe avec scan positif. Comprendre chaque type de TCC Léger nous aide à mieux saisir l'impact des symptômes du patient et à choisir le traitement le plus approprié..

Scene 26 (14m 2s)

TCCL. TCCL un jour TCCL toujours (peu importe les plaintes) Si diagnostic (+) : Écrivez-le Si diagnostic absent : Écrivez-le Pire qu'un diagnostic de TCCL : un diagnostic erroné de TCCL 30 à 50% des demandes reçues au Programmes régionaux existants n’ont aucun critère de TCCL.

Scene 27 (14m 17s)

[Audio] Les TCCL requièrent une attention particulière et un examen approfondi. Lorsqu'une personne subit une commotion cérébrale ou présente des troubles de concentration, une réévaluation est nécessaire. Il est important de prendre en compte l'histoire et les symptômes initiaux pour établir le diagnostic, à l'exception des cas de perte de mémoire de courte durée. Il peut également être nécessaire de réviser le diagnostic en vérifiant les documents relatifs aux soins d'urgence, une ambulance, etc..

Scene 28 (14m 54s)

[Audio] On estime que le traumatisme crânien léger est l'affection neurologique la plus répandue chez les adultes et les enfants. Lorsqu'une personne est victime de ce type de traumatisme, elle peut présenter des symptômes aigus tels que des maux de tête, de la fatigue, des étourdissements ou des vertiges, de la nausée, des troubles visuels, une altération du goût ou de l'olfaction, de la confusion et des troubles de concentration..

Scene 29 (15m 22s)

[Audio] Pour ce qui est du diaporama n°29, nous allons analyser les diagnostics liés aux traumatismes susceptibles d'altérer le bien-être d'une personne. Ces traumatismes peuvent survenir au-dessus des épaules et incluent les traumatismes cervicaux, aux oreilles, aux vertiges, faciaux, au crâne, tels que les fractures, les céphalées et l'arthrite temporo-mandibulaire, ainsi que les traumatismes aux yeux..

Scene 30 (15m 50s)

[Audio] Les catastrophes corporelles peuvent avoir des conséquences importantes sur l'état mental et la capacité à être autonome. La réponse à une telle situation peut s'avérer compliquée. Les répercussions à long terme de cet événement peuvent être source de stress et d'anxiété, ainsi que de réactions émotionnelles et comportementales. Les conséquences psychosociales associées à un accident corporel peuvent inclure :.

Scene 31 (16m 20s)

[Audio] Les traumatismes sont des événements très stressants qui s'impriment fortement dans l'amygdale. Ils peuvent engendrer des conséquences psychologiques et se manifester sous forme d'un état de stress post-traumatique. Selon le DSM-V, pour être reconnu comme tel, ce malaise doit présenter neuf symptômes sur quatorze répartis en quatre catégories: les symptômes d'intrusion, d'évitement et d'émoussement, les symptômes neuro-végétatifs et enfin une perturbation cliniquement significative ou une altération du fonctionnement qui doit durer plus d'un mois. Il est important de savoir que le stress et l'état de stress post-traumatique sont différents..

Scene 32 (17m 5s)

[Audio] "Mesdames et Messieurs, alors que nous examinons la présentation intitulée « Quand ça frappe l'imaginaire » (TCCL), je vous invite à réfléchir sur les pré-conditions à la TCCL. Celles-ci incluent une anxiété fonctionnelle (sans diagnostic ni traitement), des problèmes psychologiques ou psychiatriques, des troubles de l'attention, qu'ils soient reconnus ou non, des douleurs chroniques, des migraines, une indemnisation et bien d'autres encore..

Scene 33 (17m 35s)

[Audio] La récupération suite à un traumatisme crânien varie selon l'âge et le sexe des personnes ainsi que leurs mécanismes de récupération. Chez les enfants, dont le cerveau est en processeur de formation, s'ajoute un facteur supplémentaire. Heureusement, 85% des patients se sont rétablis en 7 à 10 jours et 10% en 1 à 3 mois, tandis que seulement 5% restent affectés par des plaintes persistantes. Il est important de rappeler que le cerveau humain est capable de se guérir lui-même..

Scene 34 (18m 11s)

[Audio] Concernant le diapositive 34, nous avons abordé des symptômes persistant pouvant être associés aux traumatismes craniocérébraux légers (TCCL). Ces symptômes peuvent perdurer pendant jusqu'à 3 mois après le TCCL. On a déterminé plusieurs facteurs de risque qui peuvent avoir une influence sur le processus d'indemnisation - des survivants âgés de plus de 40 ans, antécédents neurologiques, facteurs de stress précédents, dépression et cognition altérée, ainsi que l'anxiété des parents chez des enfants..

Scene 35 (18m 48s)

[Audio] Les traumatismes crâniens peuvent avoir des répercussions variables et plus ou moins sévères pour chaque personne. Des études démontrent que certains symptômes sont fréquemment constatés. Ils peuvent se manifester sous forme d'un trouble de l'humeur, d'anxiété et de stress. Parmi ces symptômes, on peut mentionner la sensibilité à la lumière ou aux bruits, la perte d'intérêt, de vision ou d'audition, le gain ou la perte de poids, le pessimisme, le catastrophisme, la difficulté à s'organiser, des troubles du sommeil, l'irritabilité, la fatigue et des sensations physiques. Ces symptômes ont des conséquences considérables sur la vie des personnes concernées..

Scene 36 (19m 36s)

[Audio] En ce qui concerne le traitement des conséquences d'une commotion cérébrale, il est essentiel de tenir compte du contexte particulier de chaque individu. Dans ce cas, le traitement débute par une première ligne après l'urgence qui est applicable à l'ensemble du Québec. Ce traitement comprend entre autres un contact par le biais d'un numéro de téléphone spécifique, pour une entrevue téléphonique qui est menée par une infirmière. Des questionnaires spécifiques, comme le Rivermead, seront utilisés pour évaluer la récurrence des symptômes. La réassurance et le coaching afin de reprendre les activités sont des aspects importants à considérer et les références selon les symptômes sont à prendre en compte. En ce qui concerne la singularité de la commotion cérébrale, il est essentiel de noter que le traitement léger relève de la spécialité neurochirurgicale et, de ce fait, n'exige pas de neurologue ou de neuropsychologue. On doit rappeler que le cerveau se rétablit seul et que ce processus n'implique pas l'intervention d'un neuropsychologue..

Scene 37 (20m 47s)

[Audio] If you or someone you know is experiencing any of the symptoms associated with Traumatic Brain Injury, it is important to get medical advice. The Rivermead assessment is a useful tool for identifying these symptoms, which may include headaches, dizziness, nausea and vomiting, noise sensitivity, sleep disturbances, fatigue, frustration, depression, forgetfulness, poor concentration, blurred vision, light sensitivity, double vision and restlessness. These symptoms can greatly affect a person’s daily life..

Scene 38 (21m 24s)

[Audio] Les TCCL sont courants chez les adultes et les enfants. Ils sont associés à des symptômes et des signes qui sont généralement réversibles en quelques jours. Heureusement, le cerveau est capable de se rétablir par lui-même, mais nous pouvons accélérer cette guérison en prenant des précautions, en limitant les activités physiques et cognitives, en s'assurant que nous nous rétablissons bien et en évitant les risques d'une blessure supplémentaire. Une période de repos de 3 jours au maximum est requise. Cependant, des symptômes peuvent réapparaître et imiter ceux des TCCL aigus. L’INESSS (Institut national d’excellence en santé et en services sociaux) a publié des conseils pour faciliter le retour à une activité physique et cognitive sûre..

Scene 39 (22m 18s)

[Audio] Concernant l'accident, des précautions doivent être prises pour nous permettre de nous rétablir plus rapidement. Il est donc important de se reposer et d'éviter les activités excessives. De plus, il faut éviter l'alcool et les drogues. Si des maux de tête surviennent, l'acétaminophène peut aider à soulager la douleur. Il est également important de prendre des précautions en ce qui concerne la conduite automobile, en évitant de le faire au moins 24 heures après l'accident. Il est important de mettre en pratique une chose à la fois et de s'entourer de calme. Il est préférable de suivre des bonnes habitudes de sommeil et de limiter la stimulation visuelle, en limitant l'utilisation de l'ordinateur, des textos, des jeux vidéo et de la télévision..

Scene 40 (23m 12s)

[Audio] Il est essentiel de tenir compte que la reprise des activités après un état de stress post-traumatique ne se produit pas instantanément et doit s'effectuer progressivement. Il est préférable de reprendre des activités quotidiennes progressivement, même si les symptômes ne sont pas totalement disparus. Il ne faut pas en faire trop ou pas assez. La lecture simple à temps partiel peut être réalisée pour le travail ou les études. L'activité physique, comme la marche à 4 km/h et la baignade sans plongeon sont à prendre en compte. Des activités comme le jardinage peuvent aussi constituer une option..

Scene 41 (23m 56s)

[Audio] Les activités cognitives sont essentielles dans notre vie de tous les jours. Il est important de prendre des pauses fréquentes et de ne rien négliger. Après quelques jours d'absence, nous devons reprendre les activités spécifiques par période de quinze à vingt minutes. Avec le temps, notre capacité de concentration augmentera et nous pourrons étudier. Nous devons aussi penser à éviter les situations anxiogènes pour peu à peu retrouver une journée complète et ainsi reprendre progressivement les projets de haut niveau cognitif. Nous pourrons enfin retrouver nos activités quotidiennes ainsi que les activités cognitives avant les sports physiques..

Scene 42 (24m 42s)

[Audio] Passons maintenant à la sixième étape de notre programme de retour aux sports. Il s'agit d'un programme en six étapes à suivre sans symptômes pendant une semaine et en prenant 24 heures d'intervalle entre chaque étape. Si des symptômes réapparaissent, il faut reposer 24 heures et revenir à l'étape précédente. Si aucun progrès n'est constaté, un programme régional sera mis en place et l'infirmière première ligne devra être consultée..

Scene 43 (25m 13s)

[Audio] Il est important de comprendre que lorsqu'il s'agit de travailler l'imaginaire, l'entraînement requiert des intervalles et des intensités spécifiques. Selon les différentes étapes, l'entraînement varie, mais il est toujours sûr et graduel. Au début, on commence par des exercices sans contact pendant 5 à 10 minutes, et 15 à 20 minutes pour les exercices à stationnaire. On continue avec des exercices avec contact léger, puis on augmente la durée et la difficulté, jusqu'à ce que l'on ait une pratique complète sans symptôme, ce qui signifie que l'entraînement est réussi. Finalement, il est possible de revenir à la compétition..

Scene 44 (25m 59s)

[Audio] Les traumatismes crâniens légers constituent une source importante de morbidité et d'invalidité, particulièrement pour les personnes âgées. Il est essential de prendre des mesures préventives pour prévenir les TCCL et limiter leurs répercussions sur la vie des individus. Des études ont démontré qu'après un traumatisme crânien léger, les risques d'un deuxième traumatisme crânien sont plus élevés dans les trente premiers jours après le premier choc. Ainsi, il est primordial d’utiliser des protections pour la tête et de surveiller les symptômes et signes éventuels d’un traumatisme crânien léger. De plus, il existe un syndrome rare et dangereux, le « syndrôme du second impact », qui peut se produire si une personne reçoit un autre choc crânien avant que les symptômes associés au premier choc ne soient complètement résolus. Enfin, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer les effets cumulatifs de l’accumulation de plusieurs traumatismes crâniens sur la cognition..

Scene 45 (27m 5s)

[Audio] Il est clair que, lorsque les interventions de première ligne, telles que les VPPB et les céphalées cervicales, ne sont adaptées qu'environ à 5% des cas, une deuxième ligne de traitement est nécessaire. Cette deuxième ligne est appelée "Le Bouclier". Lorsque cela est nécessaire, un neuropsychologue ou, plus précisément, un psychologue peut déceler les symptômes et conseiller des stratégies compensatoires. Malheureusement, bien que la remédiation cognitive soit reconnue comme bénéfique dans d'autres pathologies neurologiques, elle s'est avérée peu efficace dans le cas des Troubles cognitifs liés au cancer. De plus, aucun test ne permet de différencier les causes des déficits et, par conséquent, de soutenir la guérison du cerveau..

Scene 46 (27m 57s)

[Audio] Titre de cette présentation : "Quand ça frappe l'imaginaire". Avec ce sujet, nous souhaitons montrer comment un événement peut toucher notre imaginaire et comment sa mémoire peut influencer notre vie. Nous allons le découvrir à travers les textes et les œuvres étudiés dans le cadre du cours de TCCL. C'était le dernier diaporama de cette présentation, je vous remercie chaleureusement pour votre présence et votre attention. Merci à tous..